rasme, séjourna de mai à octobre 1521 à Anderlecht chez le chanoine Pierre Wijchmans, maison qui deviendra "la Maison d'Érasme", près de Bruxelles. Celle-ci avait ses délices, c'est à dire son jardin comme on disait à cette époque mais dans la correspondance composée de 22 lettres qu'écrivit le célèbre hôte, s'il nous parle de son bonheur d'être en ce lieu, il ne décrit jamais le jardin. Il loue la qualité de l'air et s'adressant à Guillaume Budé et selon son conseil, il se met "à jouer au paysan".
En arrivant chez son imprimeur Jean Froben, à Bâle, il profite d'un enclos ombragé, et là, comme Bernard Palisssy, il se met à penser à son propre jardin. Se levant de bonne heure pour profiter encore du chant des oiseaux de nuit, il prie puis le compose, ce qui lui fournira le cadre de son ouvrage le Convivium religiosum qui paraîtra en mars 1522. Ainsi il jardina avec sa plume en réunissant neuf personnnages guidés par le propriétaire du lieu, Eusèbe.
A l'encontre de Socrate qui préfèrait la ville qui lui donnait l'occasion d'apprendre, Eusèbe fait l'éloge de la campagne: ... bien qu'à mon avis, loin d'être muette, la nature ait mille voix et qu'elle en apprenne beaucoup à qui la contemple, à condition qu'elle tombe sur un auditeur attentif et docile. Que proclame-t-il donc, ce visage si amène de la nature au printemps, sinon que la sagesse de Dieu est égale à sa bonté? Mais, dans cette retraite, combien de choses Socrate n'enseigne-t-il pas à son cher Phèdre et combien n'en apprend-il pas à son disciple?
il invite ses amis chez lui et leur indique ce qui sera servi: .. car au menu ne figureront que des légumes, denrées qui ne coûtent guère au dire d'Horace. Le vin sera du cru. On y récolte des concombres, des melons et, comme aux îles Fortunées, selon Lucien, nous cueillerons à l'arbre même les figues, les poires, les pommes et les noix. Peut-être même sortira-t-il quelque volaille du poulailler.
et demande à chacun d'apporter son condiment le plus délectable: son appétit!
En attendant le repas, Eusèbe accompagne ses invités dans les jardins. Le premier est un semblant de jardin sauvage peuplé de fleurs mises à la disposition de chacun pour parfumer et décorer la maison. Ce patio est entouré de murs sur lesquels sont peintes trois sentences chrétiennes, chacune en une langue différente.
A droite, une allée mène à une petite chapelle avec sur l'autel un Christ, protecteur du jardin, le bras droit levé vers le ciel, le gauche invitant le passant à le suivre. D'autres sentences l'accompagnent selon le modèle précèdent. Tout près, une petite source rappelle au passant la fontaine de vie, son eau mise à la disposition de tous.
Les amis se retrouvent dans un second jardin dont les palissades sont peintes en vert, planté d'herbes odoriférantes réunies en parterre par espèces, avec des étiquettes portant une vertu curieuse de la plante; ainsi sur l'"étendard" de la marjolaine est écrit: Ô porc, ne me touche pas, mon odeur n'est pas pour toi.
Au milieu est une fontaine dont l'eau canalisée par des rigoles en faux marbre, divise le jardin en deux puis nettoie la cuisine dont elle entraîne les détritus à l'égout.
Tous ces jardins sont entourés de fresques peintes réalistes, représentant fleurs, arbres d'essences différentes, forêt, oiseaux, animaux, et un paysage représentant un lac, de fleuves et de mers avec leurs populations.
A l'arrière de la maison, un jardin partagé en deux lots: l'un pour les plantes comestibles, tenu par la femme et la servante, l'autre, pour les plantes médicinales. A gauche une pelouse cloturée d'une haie vive d'épineux, à droite, un verger. Une volière complète le tout.
Ce jardin ne vous fait-il pas penser au jardin délectable de Bernard Palissy avec ses sentences tirées de la Bible et, en ce qui concerne les connaissances de l'époque, à l'Eden de Guillaume du Bartas?
Les jardins de la Maison d'Erasme se composent d'un premier jardin de plantes médicinales créé en 1988 par René Pechère qui s'inspirera du tableau de Dirk Bouts, La justice d'Otton- le supplice de l'innocent au second plan duquel sont des jardins de type médiéval. Y sont cultivées des plantes qui auraient pu soigner l'auteur de l'Eloge de la Folie dont la santé était fragile. On y trouve donc, selon les connaissances de l'époque: armoise, asaret, chélidoine, joubarbe, hellébore, ficaire, pâquerette, molène, traînasse, etc.... cultivés dans de petits carrés qu'une fontaine domine.
En passant sous une arcade, s'ouvre un second jardin concu par Benoît Fondu qui, en concert avec la direction de la Maison d'Erasme fit appel à quatre artistes pour, non pas illustrer l'oeuvre d'Erasme mais tenter d'entrer en résonnance avec elle.
Ce jardin philosophique sont composés des créations artistiques:
- de petits parterres en formes de feuilles de saules, de châtaignier, de tilleul et de charme qui contiennent plantes et fleurs qu'Erasme aurait pu rencontrer lors de ses voyages dans les différents pays visités;
- des petits bassins en forme de feuilles stylisées ou d'amandes, au fond desquels sont composés en lettres de laiton, des adages d'Erasme;
- des sentiers qui fonctionnent en interaction avec les oeuvres et un enclos de verdure symbolisant l'amitié;
- une gloriette composée de lentilles colorées;
- et au centre du jardin, une "source" tellurique qui invite à une plongée en soi afin d'y réaliser un travail intérieur.
Dans le verger on y voit cognassiers, cerisiers, néfliers, pommiers, et pruniers.
En 1997/98, au musée de Saint-Antoine-l'Abbaye fut crée un jardin en forme de croix, forme qu'on les églises, symbolisant ici le corps d'Erasme, où étaient cultivées les plantes qui auraitent pu le soigner lorsqu'il était malade. Ainsi celles qui soignaient les migraines étaient dans l'abside en tête de la croix, dans les bras du transept, celles contre l'arthrose, etc...
ors de la rédaction du récit de ses voyages, Montaigne nous fait part des paysages qu'il traverse, notant quelques traits. Ainsi, il écrit: Les montagnes des environs sont presque toutes fertiles en bled & en vignes: au lieu qu'il n'y avoit, il y a cinquante ans, que des bois & des châtaignes. On voit encore un petit nombre de montagnes pelées & dont la cime est couverte de neige, mais elles sont assez éloignées de là.
Il parle aussi de "belles plaines", de "beaux vallons", de ruisseaux très plaisants", sans aller au delà.
Montaigne, ni bucolique, ni pastoral, donnera plus de détails de sa bibliothèque que du paysage qu'il vient de traverser à dos de cheval!
Après de longues heures de chevauchée, ses écrits seront plus descriptifs lorsqu'il sera aux bains Della Villa, et qu'il découvrira le paysage vu de sa chambre. Cependant ce n'est pas la nature qu'il décrit mais plutôt le tableau qu'il aura devant les yeux et dont le cadre sera la fenêtre, avec sa perspective et ses repères très précis: c'est l'oeil qui observe et le tableau reste dans ce cas, au niveau de la stricte observation.
Cependant il écrira, alors qu'il va faire une promenade: En passant sur la cime des Monts, je découvrois les plus riches, les plus fertiles & les plus agréables collines que l'on puisse voir.
Enfin, il nous révèle la beauté d'un paysage; elle est clairement exprimée bien que très succincte; mais Montaigne ne sera jamais un grand peintre pour nous décrire des paysages et n'y sera jamais assez sensible pour nous exprimer ses sentiments.
Cependant lorsque qu'un jardin s'offre à ses yeux, l'écriture se fait plus précise et ainsi dès le début de son voyage, son secrétaire notera: Au lieu de Meaux, M. de Montaigne fut visiter le Thrésorier de l'église saint-Etienne ... qui lui montra sa librerie & singularités de son jardin. Nous n'y vîmes rien si rare qu'un arbre de buy espandant ses branches en rond, si espois & tondu par art, qu'il samble que ce soit une boule très polie & très massive de la hauteur d'un homme.
Enfin arrivé en Italie, le voyageur décrira les jardins dont ceux de la villa d'Este à Tivoli puis ceux de la villa de Castello. lire
Nous pouvons nous rendre compte que seuls les jardins où la diversité de la nature se trouve artificiellement rassemblée intéressent Montaigne et que, ce n'est que lorsque la campagne est ressentie en tant que jardins, que le paysage est propre à être décrit: Parmi les champs de bled, ils ont force abres bien rangés, & ces abres couverts & ratachés de vigne de l'un à l'autre: ces champs semblent être des jardins. Les montaignes qui se voïent en cete route sont forts couvertes d'abres, & principalement d'oliviers, chataigniers, & muriers pour leurs vers à soïe.
Pour cet auteur, la nature, c'est le jardin; il reste prisonnier de son utilité, comme lorsqu'il traverse les paysages et ne voit que la fertilité des champs et leurs cultures. La beauté naturelle n'est pas pour lui une chose à considérer à moins qu'elle ne soit concentrée dans un jardin. Dit autrement ce qui l'intéresse est le travail des hommes qui mettent la nature à leur service, ce qui lui semble sa seule finalité.
En celà, Montaigne reste un auteur fidèle à l'esprit de la Renaissance et aux temps qui l'ont précédée, où le paysage n'était qu'un arrière plan, chez le peintre comme chez l'écrivain. La nature était au service de l'homme comme beaucoup le pense encore aujourd'hui et comme la religion l'enseignait et l'enseigne peut-être encore.
Ce qui n'empêchera pas les Essais d'être mis à l’Index en 1676 - sur la demande de Bossuet!
uste Lipse dont l'histoire nous dit qu'il aimait l'art des jardins et les tulipes expose dans son "Traité de la constance", la philosophie que pratique son ami Langius. L'auteur voulant fuir la guerre dans son pays, s'arrête à Liège chez cet ami. Le lendemain de son arrivée, ce dernier lui propose de visiter l'un de ses jardins situé près de la Meuse: En entrant, et dès le premier coup d'œil d'ensemble que je jetai avec curiosité autour de moi, je fus positivement ébloui de l'élégance et du parfait entretien de ce jardin. O mon Père, dis-je, que de charmes! que de splendeurs! Vous avez là un vrai paradis, Langius, plutôt qu'un jardin. Les feux des étoiles ne brillent pas avec autant d'éclats dans une nuit sereine que ne font ici toutes ces fleurs si riches en couleurs variées et éblouissantes. On vante les jardins d'Adonis et d'Alcinous? Pures bagatelles et jeux d'enfants si on les compare aux votres. Et, m'approchant en même temps pour voir de plus près quelques fleurs et pour respirer leur parfum, je m'écriai; que souhaiterai-je le plus? Est-ce de devenir tout yeux avec Argus, ou tout odorat avec Catulle?
Suite
[...]
... et c'est mon sentiment bien intime que les Champs-Elysées eux-mêmes n'étaient pas aussi Elyséens que votre campagne. En effet quel éclat de tous côtés! quel ordre! comme toutes ces plantes sont artistement disposées en parterres et en corbeilles avec autant d'élégance que les pièces brillantes d'une mosaïque! Et de plus, quelle abondance de fleurs et de plantes! quelle rareté! On dirait que la Nature a voulu rassembler dans cet enclos tout ce qu'elle produit de plus excellent dans l'un et l'autre hémisphère.
'ouvrage "La Constance et consolation ès calamitez publiques" de Guillaume du Vair est une démonstration de la valeur du stoïcisme lors des épreuves. Il fait celle-ci dans un jardin sous la forme d'un dialogue entre l'ami et Musée, Lipse lui-même.
Un jour, pendant ce siège que Paris a enduré avec tant de misères, je me promenois tout seul en mon jardin, pleurant du cœur et des yeux la fortune de mon pays. Et comme la passion croist démesurément quand elle est trop flattée, je commençois à accuser le ciel d'avoir respandu sur nous de si cruelles influences, et eusse volontiers disputé contre Dieu mesme, si une crainte secrète n'eust refréné ma douleur. Comme mon esprit flottait parmi telles pensées, arriva un de mes meilleurs amis, personnage fort consommé ès belles-lettres et mesme ès sciences mathématiques; mais plus recommandable beaucoup pour sa singulière probité et fidèlité, rares vertus en ce siècle. Son nom pour cette heure sera Musée, puisque sa modestie ne me permet pas d'autrement le vous nommer.
Ainsi commence cette oeuvre qui tentera par une philosophie d'un stoïcisme allié à une morale chrétienne de pouvoir soulager les malheurs et de les accepter sans en souffrir.
ourquoi parler de l'achimie à la Renaissance alors que certains la font remonter à l'Egypte ancienne et qu'elle était en vogue au Moyen-Age?
C'est à cette période:
- que les jardins empruntent les métaphores de la mythologie tout comme l'alchimie; ainsi le jardin, composé d'éléments mythiques pourra être mis en relation avec le processus alchimique;
- l'allégorie et les emblèmes sont très à la mode avec les oeuvres Barthélemy Aneau, Théodore de Bèze, Jean-Jacques Boissard, Gilles Corrozet, Guillaume de La Perrière, Johannes Sambucus, etc... et en Italie, André Alciat et Cesare Ripa;
- que la théorie des signatures devient très populaire avec ce renouveau qui atteint tous les domaines.
Déjà, au Moyen-Age, Saint Thomas d'Aquin composait avec l'alchimie naturelle.
Frontispice du
Voyage des Princes FortunezL'alchimie ne fut jamais condamnée par l'église et de nombreux ecclésiastiques en furent les adeptes tels Saint Thomas d'Aquin qui dans son traité en décrit le parcours ou François Béroalde de Verville, chanoine de la cathédrale Saint-Gatien de Tours, qui écrivit le Voyage des Princes fortunez.
Transformer le plomb en or était-il le but spirituel et imagé des alchimistes pour atteindre l'immortalité ou une transformation matérielle du plomb en or? ou l'ensemble des deux, l'un accompagnant l'autre? Conception première à rapprocher du taoïsme qui donne au sage l'immortalité.
En effet, à la transmutation de la matière devait être accompagnée de celle de l'alchimiste!
L'alchimiste donnait à la nature une image humaine; ainsi la brume et les vapeurs qui s'élevaient vers le ciel étaient comparées à l'âme et inversement la rosée, don du ciel et recueillie au creux des feuilles d'alchemille, devenait source de jeunesse et d'immortalité. Tout était sujet à allégorie de la transformation, de la terre à l'eau, de l'eau à l'air et de l'air à l'harmonie du cosmos. Chaque minéral et végétal trouvait correspondance à l'homme, ce qu'était la théorie des signatures.
Dans son ouvrage "Le livre de la fontaine périlleuse", Jacques Gohory décrit une fontaine vue en rêve.
En mon lict nagueres dormant Le chef bas jouxte lorillier Triste mat & lasse formant Par pleurs soupirs, & long veiller, Fut longuement sans reveiller Par un songe où je fu ravy, Pour les merveilles que j'y vy. [...] Avis me fut premierement Qu'en une belle nef estoye Sur un fleuve qui doucement La demenoit par l'onde coye; Baston ny aviron navoye Pour la conduire en certainn lieu, Ains me sembloit suivre la voye Qui m'estoit ottroyé de Dieu. Longuement me mena la nef Tant que d'un rocher approchay, Et l'eau la conduisoit souëf, Parquoy de legier acrochay A un long rain ou je touchay Le tirant à moy fermement, Et puis la nef y attachay Et sailly hors legeremment. Quand jeu marché quelques cent pas Vy un lieu lors inhabité, Qui jadis par subtil compas Noblement fut là limité: Je crois que la divinité Ce lieu plus qu'autres honora, Ou au moins de grand dignité Fut celuy qui y demeura. Le lieu estoit si delectable, Pour les doux fruits que j'y vy estre Que moult le senty profitable Lors regarday un peu sus destre, Puis me retournay sur senestre, Ny faloit paindre ne farder, C'estoit un paradis terrestre Proprement fait pour regarder. Au milieu fut une Fontaine Qui repandoit plusieurs ruisseaux Plus clairs mille fois que la Seine, Et moult frais pour les arbrisseaux Qui là estendoient leurs rainseaux Sur la fontaine gracieuse Levée sus quatre fuseaux D'une pierre fort precieuse. Pygmalion fit l'entaillure De l'œuvre moult subtilement Assemblée en droite carrure Par un fort & subtil ciment: Plusieurs images noblement Je vy plantes par divers us: Plus parfaitte estoit autrement Que celle du bel Narcissus. Ouvrage de telle façon Ne fut oncques veu soubs les cieux, La main du souverain maçon Pour un chef d'œuvre precieux Le fit tant bel & gracieux suite... |
Afin qu'à tous fust exemplaire, Ne rien ne laissa vicieux Qui peust ennuyer ou déplaire. Au premier costé devers destre Estoit beauté en pourtraitture Tant gente & de gracieux estre Qu'onques si belle creature Ne fut en corps ny en figure, Moult anoblissoit la Fontaine, Sur son chef en riche écriture Disoient lettres c'est dame Helaine. Au second front Jeunesse estoit Fresche, tendre, claire & polie, Qui son temps seulement mettoit A soy faire cointe & jolie: Moult estoit simple sans folie, Son ecrit fut simple Jeunesse, Soing haioyt & melancolie La jeune dame de Liesse. Pourtraitte là sut au tiers chef Loyauté sage & debonnaire, Qui pour long ennuy & méchef Ne fit injure ne contraire A celuy à qui deuft complaire: De pers fut toute enveloppée: Ses lettres disoient sans rien taire C'est l'image Penelopée. Richement assis au quart lieu Fut Cupido Roy d'amourettes, Bien ressembloit un puissant Dieu Sur son trosne paint à fleuretes: Un arc tenoit & deux sagettes Prest de ferir grands & menus: Ses lettres leu saines & nettes, C'est Cupido le fils Venus. Loyauté pour vray estoit painte Sur toutes de couleur plus vives, D'un inde pers fut toute tainte, Telle couleur ne void nul qui vive: Au ciel la print ainsi nayve Nature la subtile ouvrière, Les autres trois de sa salive Couloura sans autre matiere. [...] Les tuyaux estoient tous d'argent Par où l'eau aval decouloit Ouvrez par ouvrage moult gent, Car lors que l'eau en distilloit, Une mélodie en yssoit Causant un son de grand plaisance, Comme par art de nygromance. Sur les arbres estoient oyseaux Chantant chans de diverses guises, Tarins, serins, chardonnereaux, Papegaux & calandres grises Vestus de pourpres & de frises Et de maint plumage mystique: Qui leurs chansons avoient aprises Accordoient selon leur musique. [...] |
Notons que c'est de 1614 à 1617 que furent publiée une succession de textes rosicruciens, dont le plus ancien remonte à 1610, ces textes auraient pu aussi servir à l'élaboration de jardins tournés vers l'hermétisme.
Alchimie de Gandha, Porte de l'alchimie de P. P. Parmentier et Achimie de Valdim
d'Erasme | ||||
de la villa d'Este |
de Montaigne | de la villa Castello |
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des Traces 57270- Uckange |
de l'alchimie | jardin de l'alchimiste 13810- Eygalières |